30.03.18 in inspirations
le bracelet
Le premier objet LE GRAMME fut le bracelet, dessiné dans une esthétique sans compromis, chaque détail y étant calibré pour le ramener à son absolu, à sa propre origine. L’homme conçut ses premiers bracelets à partir de pierres, d’os, de bois ou de coquillages, des matières disponibles avant qu’il ne soit en mesure d’extraire et de travailler les métaux précieux. Le bracelet au fil de son histoire s’est tour à tour paré de nombreux rôles…
En Or et gravé d’un oeil d’Horus, il fut talisman pour les égyptiens qui ne s’en séparaient plus une fois porté, tel un rituel sacré. En acier, il est signe d’appartenance pour les Sikhs, appelé Kara - 4e des cinq symboles extérieurs - il symbolise l’humilité, l’infini et l’appartenance au divin. Il était objet de défense pour les habitants des îles Salomon qui portaient un très large bracelet en guise de bouclier ou bien pour les Mélanésiens qui lui ajoutaient de longs crins d’animaux afin de couvrir leurs membres. Le bracelet devint même arme offensive dans certaines tribus, les lourds anneaux de laiton devenant projectiles au Congo, le métal s’hérissant de dents de scies au Malawi. Cousu de graines, de gousses, de peaux remplies de coquilles, le bracelet devient instrument de musique à vocation magique dans le chamanisme…
Le bracelet avait quasiment disparu d’Europe avec la chute de l’Empire romain et les invasions barbares. Il réapparait timidement au XVIe siècle, réintroduit par la sublime Diane de Poitiers (la fameuse scène du bain) avant d’être complètement réhabilité sous Louis XVI, période à partir de laquelle il s’attache de plus en plus aux bras des femmes. Il servira de terrain de jeu incroyable pour la joaillerie de la fin du XIXe siècle avec les réalisations de Falize, Fouquet ou Massin...
Le bracelet s’est émancipé depuis, d’une classe délibérément supérieure, redevenant universel, multi-matière, multi-genre, âge-less. De la gourmette au bracelet brésilien, du bracelet de force à la manchette précieuse. LE GRAMME puise son inspiration dans la forme élémentaire, dessinant le bracelet dans une expression essentielle, et faisant de lui un dénominateur esthétique commun qui traverse l’histoire pour devenir intemporel. Signe d’appartenance ou au contraire de distinction, le bracelet fait résonner la singularité de celui qui le porte. LE GRAMME lui donne sa propre consistance, le ramenant à la force brute et initiale du poids de sa matière (Argent 925 et Or 750), pour lui rendre son sens, et ouvrir le champ d’une émotion instinctive et universelle.
En Or et gravé d’un oeil d’Horus, il fut talisman pour les égyptiens qui ne s’en séparaient plus une fois porté, tel un rituel sacré. En acier, il est signe d’appartenance pour les Sikhs, appelé Kara - 4e des cinq symboles extérieurs - il symbolise l’humilité, l’infini et l’appartenance au divin. Il était objet de défense pour les habitants des îles Salomon qui portaient un très large bracelet en guise de bouclier ou bien pour les Mélanésiens qui lui ajoutaient de longs crins d’animaux afin de couvrir leurs membres. Le bracelet devint même arme offensive dans certaines tribus, les lourds anneaux de laiton devenant projectiles au Congo, le métal s’hérissant de dents de scies au Malawi. Cousu de graines, de gousses, de peaux remplies de coquilles, le bracelet devient instrument de musique à vocation magique dans le chamanisme…
Le bracelet avait quasiment disparu d’Europe avec la chute de l’Empire romain et les invasions barbares. Il réapparait timidement au XVIe siècle, réintroduit par la sublime Diane de Poitiers (la fameuse scène du bain) avant d’être complètement réhabilité sous Louis XVI, période à partir de laquelle il s’attache de plus en plus aux bras des femmes. Il servira de terrain de jeu incroyable pour la joaillerie de la fin du XIXe siècle avec les réalisations de Falize, Fouquet ou Massin...
Le bracelet s’est émancipé depuis, d’une classe délibérément supérieure, redevenant universel, multi-matière, multi-genre, âge-less. De la gourmette au bracelet brésilien, du bracelet de force à la manchette précieuse. LE GRAMME puise son inspiration dans la forme élémentaire, dessinant le bracelet dans une expression essentielle, et faisant de lui un dénominateur esthétique commun qui traverse l’histoire pour devenir intemporel. Signe d’appartenance ou au contraire de distinction, le bracelet fait résonner la singularité de celui qui le porte. LE GRAMME lui donne sa propre consistance, le ramenant à la force brute et initiale du poids de sa matière (Argent 925 et Or 750), pour lui rendre son sens, et ouvrir le champ d’une émotion instinctive et universelle.
« Signe d’appartenance ou au contraire de distinction, le bracelet fait résonner la singularité de celui le porte. »